le 23 août 2022
Précursseurs dissidents.
J’aime l’ordre, et mon goût en matière de heavy metal témoigne de cet amour. Les groupes que j’affectionne sont classés par ordre de préférence, et Judas Priest est celui qui juche sur la troisième...
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L'étape du troisième album est toujours importante dans la carrière d'un groupe. Ca se vérifie ici, avec le troisième album de Judas Priest qui marque une évolution importante. En effet plusieurs facteurs se mettent en place pour que tout soit parfait. Signature chez une major, en l'occurrence CBS, producteur au nom prestigieux en la personne de Roger Glover (bassiste de Deep Purple c'est pas rien) et enfin Judas Priest joue avec un batteur au talent immense, Simon Phillips, un batteur de studio certes, âgé d'à peine 20 ans à l'époque. Tout est en place pour que les anglais réussissent un tour de force. Et c'est ce qu'ils font. Sinner ouvre les hostilités. Le chant de Rob Halford est rugueux, les guitares incisives et Simon Phillips s'en donne à coeur joie pendant le break. Le reste de l'album est du même tonneau (Starbreaker, Let us prey/Call for The priest et sa double grosse caisse, Dissident aggressor), à quelques exceptions près. Last rose of summer d'abord, une ballade superbe dans laquelle Rob Halford brille, et Here come the tears, un morceau qui débute par des arpèges magnifiques puis qui va monter crescendo pour finir sur une explosion. L'album se clôt par un autre petit chef d'oeuvre : Dissident aggressor, aka la chanson à qui l'on prête la paternité du thrash metal rien que ça! Et on le comprend quand on entend cette intro en fade in jusqu'à l'arrivée de ce riff tout simplement mortel! En résumé Sin After Sin nous montre un Judas Priest qui entre avec les deux pieds dans le heavy metal (mouvement déjà amorcé sur Sad wings of destiny certes) et qui nous assène des coups de poings dans la tronche à chaque piste!
Un album de la confirmation qui mettra les anglais sur les rails pour conquérir le monde!
Créée
le 19 mars 2021
Critique lue 97 fois
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