Soliloquy
6.3
Soliloquy

Album de Lou Doillon (2019)

Tagada tagada, c'est Karen Dalton

Comme Karen Dalton est assez méconnue, difficile de ne pas suspecter qu'une "fille de" en mal de singularité ait été tentée de singer ce grain si particulier. Car l'époque étant avide de "grains" et de "tessitures" originaux, les starlettes se fabriquent un timbre rauque dont l'authenticité est souvent sujette à caution. La voix de Karen Dalton, elle, était un "accident heureux" : je crois qu'elle ne pouvait pas chanter autrement et qu'on a certainement dû la dissuader d'embrasser une carrière de chanteuse, à l'époque. Bref, je n'ai rien contre la petite Lou, mais je n'y crois pas, moi, à cette voix. Et du coup, cela devient inaudible.

RUBY78
3
Écrit par

Créée

le 13 janv. 2020

Critique lue 107 fois

RUBY78

Écrit par

Critique lue 107 fois

D'autres avis sur Soliloquy

Soliloquy
RUBY78
3

Tagada tagada, c'est Karen Dalton

Comme Karen Dalton est assez méconnue, difficile de ne pas suspecter qu'une "fille de" en mal de singularité ait été tentée de singer ce grain si particulier. Car l'époque étant avide de "grains" et...

le 13 janv. 2020

Soliloquy
YasujiroRilke
4

Critique de Soliloquy par Yasujirô Rilke

C'est toujours embêtant d'écrire sur des albums comme celui-ci. Bien composé, interprété avec une sincérité certaine, rien pourtant ne s'en dégage de fort. Et le nom de Lou Doillon laisse soupçonner...

le 19 févr. 2019

Du même critique

La Chatte
RUBY78
8

De la belle ouvrage...

La plupart des livres de Colette pèchent par le fond dès lors qu'on y veut trouver une leçon de vie, une pensée, un fil rouge. Il ne faut pas y chercher autre chose qu'un témoignage indispensable sur...

le 19 janv. 2020

1 j'aime

Paradise is Burning
RUBY78
7

Tendre et désespéré

Joli petit film social dont le charme réside essentiellement dans sa bande son, son actrice principale, et sa photographie, ce qui n'est déjà pas si mal. Le scénario est quant à lui réduit à sa plus...

le 30 déc. 2024