Cette chronique est la cinquième d'une série basée sur une recommandation d'album faite dorénavant chaque lundi par un des participants d'un club ouvert prêt à tout pour affronter le monde insondable de la musique. Je demande à qui le désire de me fournir deux mots qui lui ont été inspirés à l'écoute de l'album sélectionné. Avec les mots récoltés (mis ici en gras), je rédige une bafouille, qui, je l'espère, rendra honneur à ce disque et surtout qu'ils vous donneront l'envie de l'écouter.
Pour la chronique de cet album, je vais franchement me lâcher en écriture automatique. On verra bien ce qu'il en sort puisqu'on est en pleine onda fresca sous une calor, je vous dis pas. C'est vrai que la tapisserie cosmique qui nous est proposée est peut-être le genre de musique que l'on écoute assis, tranquille lors d'un sunrise en Equateur, rêvant de patinages, oui, de patinages et non de tisserands, même s'ils sont eux aussi souvent cosmiques, ou parfois franchement comiques.
Certains voudront peut-être faire une messe basse sans curé, rêvant d'un soleil moins percutant, les yeux dans le vague. Heureusement, la nonchalance sonore de nos deux compères guitaristes nous invitent à une danse, nous rassurant en nous faisant bien comprendre qu'on ne prendra pas un ascenseur pour l'échafaud, comme cela a été montré dans le générique du même film.
Non, vous ne finirez pas la tête coupée après avoir écouté cet album, mais au contraire vous rêverez que cette même tête puisse rapidement avaler une tequila sous cette terrible canicule.
Alphananar (onda, fresca) - DizzyLizzy (canicule, danse) - Epitaph (vague, messe basse)
JaiVuTout (patinages, tisserands - tapisserie, cosmique - patinages, cosmiques)
JeanG55 (tranquille, rassurant) - Laughing Stock (générique, ascenseur)
Mushroom-Man (tequila, sunrise) - Sombre Lune (nonchalance, sonore)
Yacoulou1977 (soleil, calor)