Pour son tout premier album, Februus nous entraîne au fin fond d'abysses qui seraient sans lumière si celles-ci ne communiquaient pas avec la chambre magmatique de volcans sous-marins, et les toilettes infernales d'entités lovecraftiennes. Sur Surveillance Orgy, son premier album, le one-man-band suédois propose en effet un Death Metal incroyablement dense, dont l'avant-gardisme cosmico-méphitique peut évoquer un mélange de Cephalectomy, Immolation, Portal et Disharmonic Orchestra. Typiquement le genre d'album qui se marie assez mal avec les 'cahuètes et la première bière fraîche de celui ou celle qui a décidé de décompresser après une journée à se prendre la tête...
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