Les Pains Of Being Pure At Heart ne seront pas passés par la petite porte. Intronisés avec leur album homonyme comme nouvelle sensation pop-rock, affublés de toute comparaison possible, il ne pourra cependant leur être retiré, la grande qualité de ce premier album. Immédiat et volontaire, il aura longtemps rythmé un début d'année qui avait pourtant démarré sur les chapeaux de roues.
Kristoffe
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Wishlist Vinyls

Créée

le 23 déc. 2011

Critique lue 224 fois

1 j'aime

Kristoffe

Écrit par

Critique lue 224 fois

1

D'autres avis sur The Pains of Being Pure at Heart

The Pains of Being Pure at Heart
EricDebarnot
4

Recyclage

Je ne suis pas très sûr pourquoi cet album (fort honorable au demeurant) de The Pains of Being Pure At Heart ne me fait pas grand chose : il y a pourtant ici un mélange assez bien fait de la sûreté...

le 19 janv. 2015

2 j'aime

The Pains of Being Pure at Heart
toothless
9

I'm with you and the stars are crushing through

The Pains of Being Pure at Heart, ou The Pains of Having a Shitty Band Name comme on les surnomme parfois, est un groupe de Shoegaze/Dreampop new-yorkais particulièrement bon au vu de ce qui a été...

le 15 août 2014

2 j'aime

The Pains of Being Pure at Heart
jrm81
9

The Pains Of Being Pure At Heart, le revival shoegazing

Le coup de coeur du mois s’appelle The Pains Of Being Pure At Heart. Un nom pas facile à retenir qui nous fait revivre 20 ans en arrière, au beau milieu de la période shoegazing des groupes anglais...

le 21 févr. 2013

2 j'aime

Du même critique

Sound of Silver
Kristoffe
10

Critique de Sound of Silver par Kristoffe

Impossible cette année d'être passé à côté de l'album du new-yorkais James Murphy et son LCD Soundsystem rythmé, halluciné, excellemment construit et génialement inspiré. Si le premier opus éponyme...

le 24 déc. 2011

14 j'aime

Crystal Castles
Kristoffe
9

Critique de Crystal Castles par Kristoffe

Les Canadiens de Crystal Castles sortent d'un peu nulle part pour s'imposer un peu partout, par leur marginalité, non pas stylistique, mais bien fondamentale. Dans un monde électronique et baroque,...

le 23 déc. 2011

14 j'aime

Dead Man’s Bones
Kristoffe
8

Critique de Dead Man’s Bones par Kristoffe

Comme dans Half Nelson, Ryan Gosling, son regard et sa voix tombants, incarne au sein de Dead Man's Bones un désenchantement permanent, ponctué de grâce juvénile, sorte d'appels d'air réguliers dans...

le 23 déc. 2011

13 j'aime