Avec cet album 18, on est plutôt dans l'ambiance nostalgie, psychologie que dans l'humour à tout crin qui prévalait dans le précédent (Qui a éteint la lumière ?)
On ne verra pas un seul dessin avec le pépé les pieds en haut et le reste du corps tombé en arrière du fauteuil à force d'éclats de rires ! Dommage...
Le gag de la vente des carnets de timbres au profit de l'école, j'ai connu ça aussi ! Et contrairement à Cédric, je n'étais pas très bon vendeur ! Et si j'avais connu plus tôt ses trucs !
Grandes séquences "émotions" à la fin avec Chen (non : ni vietnamienne, ni coréenne, mais vraiment chinoise !) qui va lui faire la déclaration que Cédric attend depuis longtemps, mais...
Et le pépé décidément plus pédagogue qu'il n'y paraît expliquer pourquoi tout petit, il avait perdu sa petite amoureuse à lui . Touchant ! Quant à Yéti, je ne sais pas si on va la revoir mais Cauvin tient là un "faire-valoir" prometteur !
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