Si j'étais Cédric, j'aurais plutôt le béguin pour sa mère qui s'avère être une sacrée MILF

Wah vraiment, Mari-Rose a une de ces paires de seins ! Et puis elle a toujours la ligne, et s'habille bien. Non vraiment, une femme mature et sexy d'une grande classe.

L'album par contre est presqu'ennuyant. Cauvin se recycle toujours plus, il ne se renouvelle pas malgré nombre de personnages. Il ne semble pas comprendre qu'il peut exploiter les personnages secondaires un peu plus pour amener un vent d'air frais. Par exemple Caprice ne sert presqu'à rien et n'a fait l'objet que de 3 ou 4 gags à tout casser depuis sa création. La relation amoureuse de Christian envers elle n'aura été expoitée que 2 ou 3 fois. Le nouveau job de Marie Rose n'aura été abordé qu'une fois.

Graphiquement, la couverture laissait présager le pire. Laudec tenterait-il d'imiter l'ami Midam? Heureusement, les dessins sont encore sympathiques même si on sent toujours ce faible déclin. Quant aux couleurs, le coloriste se lâche complètement au niveau des fondus, le résultat est assez moche en général.

Bref, "Enfin seuls !' n'offre rien de très folichon.
Fatpooper
5
Écrit par

Créée

le 11 juin 2013

Critique lue 442 fois

1 j'aime

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 442 fois

1

D'autres avis sur Enfin seuls ! Cédric, tome 18

Enfin seuls ! Cédric, tome 18
270345
7

Le Yéti n'est pas toujours un abominable homme des neiges !

Avec cet album 18, on est plutôt dans l'ambiance nostalgie, psychologie que dans l'humour à tout crin qui prévalait dans le précédent (Qui a éteint la lumière ?) On ne verra pas un seul dessin avec...

le 22 mai 2018

Enfin seuls ! Cédric, tome 18
batman1985
6

Cédric ne parviendra jamais à le dire

Un album qui équivaut les précédents. On sent Cauvin et Laudec bien rodés dans ce qu'ils ont à faire. L'histoire tourne essentiellement autour de la relation entre Chen et Cédric. L'album se clôture...

le 8 mai 2013

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

121 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

115 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

103 j'aime

55