Divina Godzilla

Depuis l'année dernière l'éditeur Vestron (en plus d'avoir ouvert la porte aux comics Transformers et ressuscité la publication des Power Rangers) c'est enfin attaqué au publication du lézard atomique de manière crescendo, en commençant par Rage Across Time qui était un délire bourrin bien fun mais loin de la qualité de ce dont on va parlé qui lui-même est loin de l'ouragan qui va arrivé avec Half-Century War.
Alala cet lointaine époque du collège ou je lisais mes comics en anglais, j'me disais qu'on aurais jamais Godzilla Transformers ou Les Tortues Ninja en France et que les gens ne verront jamais ses excellentes histoire papier qui éclate ce qu'on à au cinéma, autant dire que je vit actuellement ma meilleur vie de ce point de vue la.

Ce Godzilla in Hell reprend la formule de Rage Across Time (1 chapitre 1 auteur) avec une base simple et surprenante d'un Godzilla qui voyage en enfer, le pourquoi du comment il est en enfer n'est jamais expliqué et a la limite on s'en fout car une fois plongé dedans c'est jubilatoire, forcément qui dis 1 auteur différent a chaque histoire dis style artistique hétérogène et je trouve que ca s'en sort mieux sur la qualité du dessin que Rage Across Time (même si j'ai du mal avec le style de la 3eme histoire)

• Le 1er chapitre de James Stokoe plante direct l'ambiance de ce que sera le reste le comics, une longue marche horrifique, sujette a interprétation (la majorité du comics étant muet a l'exception de la narration du chapitre 2) même si c'est loin d'être les interprétation les plus dur a cerner, ici Godzilla fera face a sa création dans du pure body-horror, avec les centrale nucléaire qui délivre une masse organique tentaculaire dégoutante, un tsunami d'âme humaine avant d'être face a lui-même scarifié et en pleine mutation, genre mutation plus cauchemardesque que dans Shin Godzilla pour vous dire, j'adore cet intro et la façon dont les étapes de création du monstre sont utilisé contre lui-même une façon de dire "tu va devenir la victime et c'est que le début" ajouté la plume de James qui a déjà fait ses preuves sur Half-Century War et qui fait encore du très bon taff, j'aime beaucoup l'expressivité qu'il donne a Godzilla.




• La suite du peintre Bob Eggleton est déjà pour moi le haut du panier en terme de dessin du comics, les couleurs le design des kaiju et l'ambiance qui ce dégage des diffèrent lieux sont sublimes y a pas d'autre mot, cet fois Godzilla affronteras ses 1er adversaires les plus iconique, Rodan dans un lieu volcanique et brulant, Anguirus dans une zone glacière en référence au climax du Retour de Godzilla première apparition d'Anguirus, et bien sur King Ghidorah, y a également un affrontement avec Varan que j'explique pas vu qu'il ne se sont jamais affronté et que si je devais cité tout le catalogue de kaiju de la Toho, Varan serais dans les derniers, mais cet incompréhension de ma part de coté j'aime beaucoup ses premier affrontement avec un retour au sources en terme d'adversaires.




• C'est avec la 3eme histoire d'Ulises Farinas et Erick Freitas avec Buster Moody a la plume que vient mes plaintes, j'aime beaucoup les travaux de Buster mais sur ce chapitre j'ai un peu de mal, je trouve que le dessin vacille selon les pages ce qui n'empêche pas Buster de nous délivré, au hasard, cet pleine page dantesque ou Godzilla est face a une espèces de tour de Babel organique compose d'œil de partout, ca c'est une image qui reste en tête, j'ai également du mal avec ce que le chapitre raconte, Godzilla affronte Space Godzilla puis ce fait attaqué par des espèces d'ange au ailes de Mothra qui l'ordonne de ce soumettre au bien, puis non ils aide Godzilla a combattre Space accompagné de diable ailés, puis ensuite il reveulent que Godzilla se soumettent au bien pour combattre l'enfer, c'est un bordel a comprendre ca retourne sa veste toute les 2 pages, et je cerne bien l'image donné Godzilla ne sert personne et n'a pas besoins d'être loué comme dieu c'est une force de la nature destructrice et indépendante et pour le coup c'est bien appuyé quand les anges et les diables ce mettre a le vénéré et qu'en retour il se font bouffé, ca me rappelle la sadisme de GMK dans les dommages collatéraux et j'aime beaucoup ca, mais l'exécution global est assez bordélique, ET EN PARLANT DE GMK !




• Le 4eme chapitre de Brandon Seifert au scénario et Ibrahim Moustafa au dessin dégomme visuellement, bon déjà c'est le seul qui change le design de Godzilla (il faut savoir que dans les américain utilise le design de 1999-2000 pour leur comics) pour celui de GMK, ce bon design zombi-esque et agressif comme je le surkiffe j'vous l'ai dis que j'adore GMK ? et le style général de Ibrahim sombre en couleur et très fidèle au costume est très agréable a l'œil, en ce qui concerne le scénario c'est le dernier sur de la grosse bagarre qui dégaine pour cet ultime affrontement Ghidorah et Destoroyah, la némésis par défaut et l'adversaire d'un des meilleur film de la saga, si le combat est aussi épique et bourrin qu'il s'annonce il a néamoins un curieux déroule puisque que Godzilla semble immortel et pas immortel dans le sens il encaisse bien, il se fait empalé, coupé la tête, bruler les yeux, battre a mort a plusieurs reprises et a chaque fois il renait en mode Dark Souls, avant de remarquer qu'ils sont entouré d'une barrière que seul l'effort combiné des 3 kaiju parviendront a détruire et les libéré de cet boucle, faut-il y voir un commentaire méta sur les films qui vont ressuscité a de nombreuses les kaiju pour continué a ce bastonné sans fin faisant de la vie de Godzilla aussi bien dans la diégèse de ses films que dans la vrai vie une boucle sans fin, en tout cas j'ai beaucoup aimé ce chapitre qui m'a redonné des vibration de ma lecture de All You Need is Kill.




• C'est l'heure du chapitre final par Dave Watcher artiste pour qui j'ai déjà beaucoup de sympathie du a son travail sur les Tortues Ninja d'IDW, cet fois Godzilla va ce battre malgré lui contre l'enfer lui-même, comme si ce dernier via une force spirituelle essayait de le contenir en son sein, lui mettre sur sa route des zones au température extrême ? marche pas, faire intervenir des démon pour le mangé ? no problemo d'ailleurs il réussira dans la mort a les contrôler et ce reformer ! mettre la sortie de l'enfer sur la plus haute montagne que t'ai jamais vu de ta vie ? laisse moi la détruire et ensuite tu frimera avec ta taille ! d'ailleurs très bonne touche de représenté la porte de sortie des enfers par un Torii (vous savez les fameux portails rouge a l'entrée des temples shinto)
  je pense qu'on aura tous deviné la signification de chapitre la, c'est le chapitre sur la puissance et la facette inarrêtable du kaiju que même l'enfer lui même ne peut contenir, et pour qu'on ai de la peine et du désespoir envers l'enfer c'est fort très fort.

En somme une lecture rapide du a son partis-pris de faire parler les images mais c'est pour ma part une très bonne lecture rapide, le contexte choisis est original et l'exécution est dans sa globalité vraiment bonne, comme quoi vous voyez je peut dire du bien des américain quand ils touchent a Godzilla suffit de pas faire n'importe quoi avec.