Might and Magic

Le volume 2 de la série phare de l'éditeur Zenescope,essentiellement connu pour ̶ ̶m̶e̶t̶t̶r̶e̶ ̶d̶e̶s̶ ̶f̶i̶l̶l̶e̶s̶ ̶à̶ ̶p̶o̶i̶l̶ ̶e̶n̶ ̶p̶e̶r̶m̶a̶n̶e̶n̶c̶e̶ ses très nombreuses héroïnes.

C'est mauvais, en fait je me dis ça à pratiquement chaque série de l'éditeur que je lis par curiosité. Le problème étant que l'univers a l'air développé, que certains personnages sont badass (#Robyn Hood), du coup je suis occasionnellement attiré par certains de leurs titres. Avant de revenir à la réalité et de me rendre compte que c'est franchement à jeter.

Pour faire simple, c'est un comics qui ne joue pratiquement jamais avec les codes du neuvième art mais préfère se réfugier dans les clichés des mauvaises séries début 2000. Et oui, on retrouve un supporting cast en carton, un freak of the week dont on se contrefiche, la petite morale quand on l'a vaincu et aidé les "innocents" de l'épisode (petit tacle à Charmed).

Dans l'ombre se construit le prochain event de l'univers, mais bâtir un event sur des fondations aussi solides que les promesses d'un politicien à 0,5% dans les sondages, j'appelle ça du suicide en bonne et due forme. J'ai craqué au dixième épisode.