Toujours cette sympathique bande de profs aux prises avec le cancre Boulard, la machine à café et la photocopieuse qui font des siennes, les grèves, les vacances tant attendues mais où ils ont du mal à décrocher. Sans doute que prof on l'est au boulot...et à côté aussi.
Pica et Erroc s'autorisent de plus en plus des incursions dans l'Histoire de France mais pas que. Napoléon, Jules Ferry et même les Jeux Olympiques. Avec à la clé des jeux de mots tout pourris comme chute dont ils s'excusent eux-mêmes !
Ça n'empêche pas que certaines de leurs réflexions à l'égard des profs tombent juste. Quand je lis Polochon énumérer les avantages qu'il a : pas de patron, pas de clients, pas d'imprévu, liberté dans les classes...On ne peut que leur donner raison.
Ah et j'ai bien aimé la prof d'allemand qui se lamente de n'avoir plus d'élèves. J'ai été collégien dans les années 90 et ce problème existait déjà à l'époque. Les classes d'italien et d'espagnol étaient pleines là où le cours d'allemand comportait deux fois moins d'élèves. La prof en venait à organiser des séances d'initiation en classe de cinquième pour nous inciter à choisir sa langue...