Spirou à New York reprend judicieusement le principe de La Chèvre inversé. Au lieu d’engager un maladroit patenté pour retrouver une autre maladroite, les mafiosi de Vito Cortizone (belle parodie du Parrain) embauchent des veinards pour les aider à sortir de leur légendaire "poissa" face à leurs ennemis de Chinatown. Comme Goscinny & Uderzo dans ASTERIX, Tome & Janry jouent à fond sur les clichés et s’en donnent à cœur joie (les cons traiteront bien sûr les auteurs de racistes pour cette raison). C’est jubilatoire, on en redemande et on aura.

Muffinman
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le 31 janv. 2015

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