L’idée des Ajin est plutôt simple, certaines personnes, (non humaine ?), ne peuvent pas mourir. Elles possèdent même certaines capacités qui promettent des affrontements intéressants.
Ce premier tome pose le décore. On se trouve dans un Japon contemporain où un jeune lycéen va se découvrir Ajin. L’existance des Ajin est connu de tous dans ce monde et ils ne semblent pas beaucoup appréciés. En tout cas, ils ne sont pas considérés comme « humain » et on semble les traiter comme des animaux. Ils sont haïs par population selon toute vraisemblance. J’avoue ne pas réellement comprendre une telle aversion mais bon pourquoi pas. Notre jeune Kei va donc devoir fuir, avec l’aide de Kai (attention à ne pas les confondre, à une lettre prêt !), pour ne pas se faire attraper par les scientifiques spécialistes des Ajin. Ceux-ci sont réputés pour mener des expériences visant à vérifier si les Ajin sont vraiment immortels.
En tout cas ils ont vraiment une malchance de fou dans ce premier tome où ils sont sans cesse retrouvés par des gens qui souhaitent capturer le nouvel Ajin.
Dans ce premier tome on découvre notamment les principaux protagonistes des 2 camps. Dans le camp des scientifiques on trouve Tosaki et sa mystérieuse assistante. Je pense que cette dernière nous réserve des surprises intéressantes pour la suite. Dans le camp des Ajin on a le « Hat » et Tanaka. Le « Hat » semble expérimenté et donc détenteur de pas mal de connaissances. De son côté Tanaka est un rescapé des expériences sur les Ajin. Il a l’air un peu fou sur les bords et ça pourrait donner lieu à des situations sympathiques dans les futurs tomes.
En tout cas l’histoire démarre bien et laisse présager de très bonnes choses. Les dessins sont sympas et je trouve les « fantômes » stylés. Je ne suis pas un habitué des mangas et n’ai donc pas de réel point de comparaison concernant la critique des dessins. En tout cas, je vous recommande vivement ce premier volume d’Ajin.