Kei Okhubo nous réserve encore un tome presque entier sur l'enfance de Léo, ce qui m'agace. Cela fait plusieurs tomes que j'ai l'impression de faire du sur place. Je suis toujours accro à cette saga, mais je la vis de plus en plus comme des longueurs déplaisantes.
Ce flashback concerne Léo, un personnage secret que j'ai aimé découvrir. On le voit évoluer dans les ateliers de Maître Ezio, un peintre particulier. Indifférent à sa famille, Léo réussit à attirer son attention. On peut faire un parallèle avec Arte à ses débuts, mais ce n'est pas une redondance. Léo et Arte affrontent simplement leurs difficultés de la même manière.
Léo est central dans les pensées d'Arte, mais son personnage n'est pas sur beaucoup de planches. Il prend de la place sans être tant présent que cela. En résumé, j'ai aimé ce tome sans plus, car il est nécessaire, mais il aurait pu être condensé en moitié moins de pages. L'absence d'évolution et le frein dans l'intrigue expliquent ma frustration. Je veux connaître le mot de la fin, mais j'ai l'impression de ne pas avancer.
Ma chronique complète
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