Parler de transexuels pourquoi pas on peut tout aborder en b.d. Il y'a sans doute des dessinateurs sérieux qui ont parlé de cette réalité, et de la misère que vivent les personnes trans: discrimination à l'embauche, prostitution, drogue, sida, suicide, etc... comme l'avait fait par exemple Carlos Giménez, dessinateur espagnol qui à l'instar de son compatriote Almodovar, parlait sans complaisance de la débauche sexuelle post-franquiste, avec la même idée que passer d'un extrême à un autre n'est pas bon.
Mais là c'est fait n'importe comment, par n'importe qui... et surtout pour n'importe qui.
Car il s'agit en fait d'un dégueulis de propagande qui enseigne la théorie du genre, la transexualité et l'homosexualité à des enfants qui ne sont pas en âge de comprendre la sexualité. Monsieur Sophie Labelle explique aux mômes qu'il existe des femmes à pénis et des hommes à vagin, et fait de la pleurniche en continu parce que les petits camarades de son héros transexuel de 10 ans ont parfois du mal à faire semblant de le prendre pour une fille, avec tout le formidable charabia néologique des social justice warrios (qui a au moins le mérite de rendre le truc illisible).
C'est glauque.
Sachez aussi qu'il est payé par je ne sais pas trop quelle organisation pour faire ce blog de propagande, et qu'il fait des tournées mondiales de dédicaces dont même Uderzo n'aurait pas pu rêver. Comme quoi surfer sur la mode SJW c'est une niche juteuse pour les auteurs sans talents.
Et comme si ça suffisait pas, puisque les tout-petits ne savent pas encore lire pour découvrir cette merveille, monsieur Sophie Labelle fait également des livres de coloriages pour enfants de 3 ans, où il faut colorier des enfants de 3 ans transexuels et homosexuels.
En somme ce type est payé pour enseigner dès la maternelle que c'est génial de se faire éclater la rondelle et couper le zizi.
Qu'attendent les associations de parents pour porter plainte contre ce danger public ?