And his name is Guts Cena

Alors, le combat tant attendu contre la Reine des elfes à eu lieu, un combat très animé et superbement dessiné notamment pour toutes les expressions de rage, désespoir et souffrance entre les deux combattants.
Guts a une fois de plus eu les traits d'une masse informe et violente le faisant certaines fois passer pour un être plus monstrueux que l'apôtre qui était son adversaire. Le duel fut notamment intéressant car malgré l'âge de Rosine, cette dernière à la différence du Comte ou du chevalier serpent avait plus de réserves et de détermination que ces derniers, ce fut néanmoins un combat moins épuisant pour le chevalier noir puisqu'il tenait toujours debout à la fin de ce dernier (bien qu'affaiblit).

Le contraste entre la troupe des chaines d'argent et Guts est d'ailleurs inévitable, lors de l'arrivé de ces derniers on se rend compte de l'impuissance des PNJ face à aux dégâts que peut faire un Guts endommagé. Le comparatif est d'autant plus mis en avant que les pages juste avant concluant le chapitre des elfes dépeignait Guts comme un être seulement animé par la haine à tel point de se faire consumer par cette dernière.
C'est notamment dans ce tome qu'apparaît pour la première fois le démon intérieur du personnage principal sous la forme du fameux chien noir.
On retrouve également le chevalier squelette qui (conformément à sa mission) a ingurgiter un Béhélit mais sans parler ni même faire part de sa présence à son protégé.

Une introspection débute enfin sur la vie des chaines d'argent et sur le trio qui les dirige, Farneze apparaît comme la fanatique, un trait de caractère qui la définiera longtemps, Azanne comme le seul atout de l'équipe puisque ses exploits remonte à l'âge d'or (rappelez vous) et enfin Serpico qui feint (je crois/ j'espère) l'inutilité.

La capture du chevalier noir est cohérente sans être frustrante, ses pensées sont plus drôles que d'habitude et surtout la fin du Tome est juste superbe.