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Enter Sandman
Depuis "Pilules bleues", j'appréhende toujours la lecture d'un nouvel album de Peeters avec un certain enthousiasme. Dernier en date, "Chateau de sable" délaisse la veine intimiste coutumière à...
Par
le 17 avr. 2011
10 j'aime
Vous dormirez un peu moins bien après.
Quel plaisir peut il y avoir à lire une BD aussi déprimante ? C'est pas pour se divertir normalement la BD ?
He bien, comme les blagues de mauvais gout qui autorisent à rire de tout tant que c'est drôle, on peut accepter de s'inculquer pareil supplice si c'est bien fait.
Rien que la réalisation, encore une fois, Peeters déploie son trait, proche de celui de Blutch, avec virtuosité, sans mettre une ligne de trop, sans en omettre aucune non plus.
C'est clair, descriptif et artistique et les nuances émotionnelles que le scénariste voulait faire passer sont sans doute respecter au poil de pinceau près.
Du coté de l'histoire, pas question d'en dévoiler un bout, mais on se contentera d'apprécier le nombre d'évènements horribles que les personnages subissent en si peu de pages.
Ça parle de sujets graves, plusieurs, et ça met mal à l'aise mais c'est tellement bien fait qu'on appréciera autant qu'on regrettera de tourner la dernière page pour rejoindre le monde réel.
Avec plus de doutes qu'avant peut être.
He bien, comme les blagues de mauvais gout qui autorisent à rire de tout tant que c'est drôle, on peut accepter de s'inculquer pareil supplice si c'est bien fait.
Rien que la réalisation, encore une fois, Peeters déploie son trait, proche de celui de Blutch, avec virtuosité, sans mettre une ligne de trop, sans en omettre aucune non plus.
C'est clair, descriptif et artistique et les nuances émotionnelles que le scénariste voulait faire passer sont sans doute respecter au poil de pinceau près.
Du coté de l'histoire, pas question d'en dévoiler un bout, mais on se contentera d'apprécier le nombre d'évènements horribles que les personnages subissent en si peu de pages.
Ça parle de sujets graves, plusieurs, et ça met mal à l'aise mais c'est tellement bien fait qu'on appréciera autant qu'on regrettera de tourner la dernière page pour rejoindre le monde réel.
Avec plus de doutes qu'avant peut être.
8
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Créée
le 10 déc. 2010
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22 j'aime
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