le 23 mai 2016
Verre de rouge en solitaire
La simplicité au service de la poésie, Fernand le vampire, sorte de nosferatu, sympathique, simple, dandy, maladroit, amateur de Prévert, aimant la fragilité des choses simples est un personnage très...
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C'est simple : on ouvre la BD n'importe où, on lit une phrase ou un dialogue que l'on trouve tendre, poétique, touchant de sincérité et on a envie de le mettre comme titre pour cette critique. On suit donc avec grand plaisir les péripéties de Fernand le vampire qui trompé par Liou, une femme arbre, va rencontré Aspirine et Josacine. Je dois avouer ne pas être fan du dessin même s'il apporte un caractère très personnel à la BD. L'univers fantastique rend la lecture encore plus agréable mais ce sont bien les préoccupations amoureuses des personnages retranscrit de manière sensible, sincère et drôle qui font de "Cupidon s'en fout" une belle oeuvre.
Créée
le 23 déc. 2016
Critique lue 234 fois
le 23 mai 2016
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