Une nouvelle histoire en bédé dans la ville des cauchemards cyberpunkés de Cyberbugs 2077 ! l’on y suit un paumard qui boulotte des DS pour la gamelle… et décide de voler de ses propres ailes (en quelque sorte)… Le gars est bien sûr (déjà) un sacré tocard mais sa copine, une espèce de truie à tronche de cake qui a mal tourné (quel tronche de cageot, putain !) elle est rigoureusement insupportable (c’est une anarchiasse dégénérée -pléonasme).
L’espèce d’histoire à la godille sent de toute façon un peu trop le déjà vu, avec pas mal de prétention en plus, ainsi qu’un côté désabusé donneur de leçons, sans oublier (évidemment) la sinistrose à nette tendance paranoïaque, très habituelle et spécifique à l’univers Cyberpunk fabriqué par CDPR (noir, c’est noir, il n’y a plus d’espoir etc…).
Par dessus ce ramage dépressif et déprimant et disons-le, fort peu intéressant, il faut mentionner le plumage, à savoir le dessin et les couleurs… et là, c’est le choc du dessin immonde, horrible, affreux, bâclé, lamentable, un dessin à chier de la merde par terre sans s’arrêter… et les couleurs justement, c’est encore pire ! un véritable festival d’immondices en guise de couleurs !!
Sur ce bilan détestable, nous concluons qu’en guise de conclusion, il ne convient certes pas de lire ou tenter de lire ou d’accorder la moindre importance à ce produit dérivé de Cyberdump 2077 : le jeu d’origine a certainement ses défauts mais reste à 100 coudées au dessus de cette bédé de merde !