Dans la collection DC Renaissance, voici le troisième volet des aventures de la demoiselle Harley qui ne reconnaît plus personne… ni même… elle-même puisque son personnage est ici devenu complètement woke !
Elle ne pense en effet qu’à aider les autres et se fait justicière de pacotille, et plus loin, on constate que les auteurs se font du souci (aussi et surtout) pour les migrants et les « minorités »… Harley est férue tout à coup de vivre ensemble et de justice sociale pleurnicharde communiste (salauds de riches etc, etc).
Elle tombe même amoureuse du Batmou, c’est dire si elle fait décidément n’importe quoi dans cet album... elle n’est plus du tout une criminelle, elle n’est plus vraiment cinglée ou tarée… la voilà donc… guérie ?! mais qui est cette Harley, bon dieu ?! t’as besoin d’une bonne révision, toi !
Même le dessin est devenu wokisé lui aussi… Déjà très inégal par défauts (au pluriel), il fait quasiment régulièrement une sale gueule à notre Harley préférée, car la laideur est bien entendu un leitmotiv chez tous les wokistes. Le dessin reste de toute façon assez moyen et peu engageant et l’espèce d’histoire mal racontée ici est décidément bien mal écrite (en dehors de sa wokerie permanente bien sûre) : bref, c’est de la merde !