Dragon Ball
le 1 août 2013
De père en fils.
Akira Toriyama s'approprie le mythe chinois du Roi Singe Son Gokū pour créer sa nouvelle saga. Nous sommes en 1984, son manga Dr. Slump touche à sa fin après 5 ans de délires en tous genres, Toriyama...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Dragon Ball, phénomène de sociétés.
Dragon Ball, ou comment marquer plusieurs générations d'enfants, d'adolescents et d'adultes à travers le monde.
Le charme de cette série est sans pareil dans le monde large de la bande dessinée.
Akira Toriyama a complètement révolutionné le monde du Shonen, en faisant évoluer le petit Sangoku dans un univers pré-établi avec une histoire prédéfinie ! Ce qui change énormément des shonens actuels !
Quête quasi mystique pour retrouver les sept "Dragon Ball" qui à l'instar des lampes moyen-orientales, peuvent exaucer les souhaits les plus humains....richesse, immortalité et j'en passe.
Cette quête devient rapidement un prétexte a moult combats et péripéties, mettant parfois en relation le monde des morts et même des planètes extra-terrestres ! Pour moi c'est de l'ordre du culte, à lire et à relire sans faim, même si il y a des arcs moins bon que d'autres (Merci les éditeurs japonais pour la pression sur l'auteur.....
La facette nostalgique, fait surement perdre de l'objectivité à cette critique, mais bon, on a tous nos petits plaisirs exagérés...
Le charme de cette série est sans pareil dans le monde large de la bande dessinée.
Akira Toriyama a complètement révolutionné le monde du Shonen, en faisant évoluer le petit Sangoku dans un univers pré-établi avec une histoire prédéfinie ! Ce qui change énormément des shonens actuels !
Quête quasi mystique pour retrouver les sept "Dragon Ball" qui à l'instar des lampes moyen-orientales, peuvent exaucer les souhaits les plus humains....richesse, immortalité et j'en passe.
Cette quête devient rapidement un prétexte a moult combats et péripéties, mettant parfois en relation le monde des morts et même des planètes extra-terrestres ! Pour moi c'est de l'ordre du culte, à lire et à relire sans faim, même si il y a des arcs moins bon que d'autres (Merci les éditeurs japonais pour la pression sur l'auteur.....
La facette nostalgique, fait surement perdre de l'objectivité à cette critique, mais bon, on a tous nos petits plaisirs exagérés...
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le 27 mars 2013
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