Dragon Ball Super, c’est super ! quoique… pas si super que ça en fait. Sauf pour le dessin, bien mieux, plus précis, plus aéré, plus fin que dans le manga original. Il faut dire que Maître Toriyama a trouvé en Toyotaro un digne successeur en la matière, assurément… et nul doute, je suppose, qu’il prendra la relève et la suite avec brio puisque le Maître est passé dans l’autre monde (paix à son âme).
Une vingtaine de tomes sont parus mais peut-être que Toriyama a écrit à l’avance d’autres histoires… ou alors Toyotaro (ou d’autres) devront se débrouiller pour conclure ce DBS avec honneur et respect de l’univers original, c’est-à-dire notre univers à nous (le numéro 6, oui, oui).
C’est d’ailleurs cet arc narratif (celui des univers parallèles) qui reste le meilleur de tout le manga alors que d’autres supers méchants viennent se friter avec le super duo Goku et Vegeta, bien entendu. Vegeta reste mon personnage préféré de toute la saga, un gros bourrin des familles au caractère de cochon, enragé et furieux ! mais moins drôle, moins extrême que dans le manga d’origine Dragon Ball (celui en 42 tomes ou 34 tomes en édition Ultimate).
De toute manière, force est de constater que l’inspiration vient à manquer un peu trop régulièrement à ce DBS et que vers les tomes 20, 21 et 22, l’auteur se détache carrément du duo des Saiyans pour se concentrer uniquement sur les mômes (si je puis dire) Trunks et Goten (entre autres) et une vague et foireuse histoire de supers héros en costumes ridicules !
Voilà qui est fort décevant… mais la note reste évidemment provisoire en attendant de lire la suite qui prendra certainement du temps… wait & see donc !