Très bonne lecture,
Mine de rien, james strokoe a dû user un sacré nombre de mines de crayons : Il a rempli ses dessins de milliers de traits, permettant de représenter au mieux le chaos des différents champs de bataille. Le nombre de petits débris est juste hallucinant.
il s'éclate aussi à dessiner les volutes de nuages de poussières que godzilla et autres kaiju soulèvent au passage de leurs grosses papattes.
Il magnifie leur design en dessinant pléthore d'écailles, en dessinant la machinerie des tanks, l'architecture des immeubles, la texture des vêtements...
Dommage qu'il n'existe pas de grands formats chez vestron car ce récit n'aurait pas démérité à voir ses cases de mettre au diapason du gigantisme de godzilla.
En tout cas c'est à dévorer