Oh mais vive la parité ! Gulliver en version féminine, c’est beaucoup plus rigolo en fait… surtout sous le crayon de Manara qui imagine les situations les plus cocasses pour son héroïne habituelle, à savoir sa blonde typique toujours aussi délicieusement perverse et adorablement coquine !
Certes, ça ne casse pas des briques pour autant me direz-vous mais c’est souvent drôle et vraiment bien inspiré. Le noir et blanc du maître italien reste l’un des meilleurs dans son genre, épuré, fluide et beau tout simplement. Une bédé légère donc… dans tous les sens du terme !