Dans ce deuxième tome, Fujisaki introduit de nombreux personnages. La première partie est consacrée à la rencontre avec Nazha, enfant artificiel à la triste histoire, la deuxième à l’évasion d’une partie des habitants de la capitale sous le joug de Daji vers des provinces plus clémentes.
L’auteur crée un mystère autour des véritables enjeux du récit et de son héros dont les capacités restent encore floues. Les touches d’humour sont plutôt adroites et ne viennent pas trop désamorcer l’efficacité des passages plus dramatiques.
Un shõnen classique mais assez réussi.