Déjà un petit bout de temps que j’ai lu "l’Île aux cent mille morts", et si j’en ai gardé quelques souvenirs, c’est parce que que j’avais en tête d’en écrire une critique. Sans ça...
Si je me rappelle bien, c’est une histoire de quête du père, tendance comique mais sans réelles trouvailles. J’ai surtout l’impression d’avoir lu un sous-"Donjon", en particulier pour le dessin naïf, les couleurs vives et les animaux humanisés. Mais n’est pas Trondheim qui veut, et "Donjon" sans rythme, ni dérision, ni univers, ni jeu sur les clichés, c’est un peu comme une salade tomate-mozzarella tiède.