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La poésie urbaine n'est pas mon fort lorsqu'elle ne baigne pas dans le cynisme, la violence et les immondices. Will Eisner occupe une part de mon attention depuis quelques années mais il n'avait encore jamais caressé mon palpitant.

Ce récit additionne des petits riens, un puzzle contenant peu de pièce mais énormément d'émotion. Je ne peu faire aucune apologie picturale ou narrative, c'est juste le destin croisé de quatre individus au pied d'un immeuble : The Hammond Building. La simplicité du récit n'enlève rien à ce terrible constat : J'ai faillit lâcher une larme.
meifu
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le 27 mai 2011

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