L’échec n’existe pas, c’est seulement un nouveau chemin.
L’Incal est une série de bandes-dessinées écrite en six tomes. Scénarisée par Alexandro Jodorowski et dessinée par Moebius, l’Incal est devenue une des bandes dessinées les plus populaire au monde. Elle est apparue pour la première fois en décembre 1980. Elle retranscrit une histoire de science-fiction, une aventure pleine d’actions et de mystères ainsi qu’une une histoire irréelle. Le personnage principale Jhon Difool et son fidèle incal (être au pouvoir mystérieux) vont tenter de sauver le monde, ou plutôt une galaxie.
Dans cette série, on ne retient pas beaucoup de points négatifs. Peut-être que les scènes « osées », la violence et le langage, à certains moments, peuvent choquer quelques lecteurs. Mais ce n’est pas forcément un point négatif pour autant.
En ce qui concerne les points positifs, il y en a plusieurs à relever. Premièrement, l’histoire est très bien construite, de A à Z on comprend parfaitement ce qu’il se passe, même si beaucoup d’actions viennent s’ajouter au contexte. De plus, le suspense est peut-être l’élément clé de l’histoire. On veut toujours savoir ce qu’il peut se passer par la suite, c’est pourquoi on ne perd jamais goût à l’histoire. C’est vraiment un point très important pour une série de bande dessinée, car s’il n’y a aucun suspense, le lecteur peut perdre son envie de lire. On peut aussi remarquer un vrai talent artistique du côté de Moebius. Les images sont dessinées avec une précision et un contraste incroyable que l’on pourrait se croire dans l’histoire : un exemple dans le tome 6, plus précisément à la fin, on peut y voir une transition de Jhon Difool entre Ohr (Dieu de la lumière) et le monde réel qui est juste magique. Le lecteur peut s’imaginer dans la transition avec Jhon. Autant vous dire que l’histoire tient très bien debout, la science-fiction est vraiment bien respectée, Toutefois ces événements ne pourront jamais se passer dans la vraie vie, même si l’on voudrait bien que ce soit vrai.
Pour finir, en plus d’être bien écrite, cette bande dessinée est très bien imaginée. C’est pourquoi elle mérite son succès. Une réalisation digne d’une saga Harry Potter. En effet, l’Incal n’as pas eu autant de succès, cependant ce n’est pas le plus important. Pour une bande-dessinée de science-fiction, on peut imaginer qu’elle fait partie des meilleures. Malgré certains actes violents et osés à certains moments, la série se rattrape du côté du suspense qui est l’élément le plus important de cette saga. Pour résumer, L’Incal est une des meilleures séries bandes-dessinées sur beaucoup de points.
Deiss Samuel 11C COP