Il y a indiscutablement de bonnes choses dans La page blanche, à commencer par cette couverture rose en contradiction avec le titre. Le chapitrage apporte un plus au récit lui aussi. La facilité, car oui, c'est facile à lire, on reconnaît les personnages, on les anticipe, ils nous sont familiers (enfin, ils sont familiers au trentenaire urbain qui doute que je suis).
Bémol sur la fin et sur la morale à vouloir être comme tout le monde, on n'est personne qui m'est passé à travers.
J'ai lu sur SensCritique de nombreuses critiques quant au dessin. J'ai trouvé qu'il donnait un ton à l'histoire, une légèreté appréciable.