L'Arme Ultime
le 10 sept. 2010
Une catastrophe
L'adaptation d'un manga en animé est rarement aisée, mais le studio responsable de ce massacre devrait se poser de sérieuses questions... Si les décors sont corrects, l'animation est assez mauvaise...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Larme ultime : Vers la lumière par LebrEf
Larme Ultime : vers la lumière, aussi appellé "Tome 0" met en scène quatre courtes histoires qui se déroulent en parallèle de l'histoire originale du manga.
La première reprend à peu de chose près l'histoire d'amour entre Shuji et Chise sans aborder l'aspect "arme" qui fait basculer Larme Ultime dans le conflit intérieur permanent des deux personnages. Ce qui rend l'histoire un peu plate.
La seconde met en scène deux collégiens (beaucoup plus jeunes que Shuji et Chise) qui vont, le temps d'une journée, aborder le monde d'un point de vue totalement imaginaire pour fuir la réalité de la guerre.
La troisième, et de loin la plus violente est raconté par un narrateur un peu spécial que nous découvrons à la fin de l'histoire. C'est celle qui met le plus en lumière la souffrance des personnages et qui selon moi correspond le plus à l'esprit de la série.
La dernière peut être vue comme l'histoire "après" le dernier tome. On peut aussi la voir comme un lien officieux avec un manga plus récent de Takahashi : Fragments (Kimi no kakera).
Globalement l'oeuvre est vendue très cher en France et s'adresse uniquement aux fans de la série. Les histoires sont sympathique mais trop courte pour qu'on se laisse vraiment emporter.
La première reprend à peu de chose près l'histoire d'amour entre Shuji et Chise sans aborder l'aspect "arme" qui fait basculer Larme Ultime dans le conflit intérieur permanent des deux personnages. Ce qui rend l'histoire un peu plate.
La seconde met en scène deux collégiens (beaucoup plus jeunes que Shuji et Chise) qui vont, le temps d'une journée, aborder le monde d'un point de vue totalement imaginaire pour fuir la réalité de la guerre.
La troisième, et de loin la plus violente est raconté par un narrateur un peu spécial que nous découvrons à la fin de l'histoire. C'est celle qui met le plus en lumière la souffrance des personnages et qui selon moi correspond le plus à l'esprit de la série.
La dernière peut être vue comme l'histoire "après" le dernier tome. On peut aussi la voir comme un lien officieux avec un manga plus récent de Takahashi : Fragments (Kimi no kakera).
Globalement l'oeuvre est vendue très cher en France et s'adresse uniquement aux fans de la série. Les histoires sont sympathique mais trop courte pour qu'on se laisse vraiment emporter.
7
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le 2 oct. 2010
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