Chaque fois qu’on me parle de lama, je pense à ce bon vieux Capitaine Haddock… « quand lama fâché, lui toujours faire ainsi » ! mais il ne s’agit pas de ce lama-là mais plutôt d’un ‘Dalaï-Lama’, le chef spirituel du peuple tibétain très librement raconté ici au cours du XXème siècle…
On reconnaît bien sûr la patte et la provocation de Jodorowsky qui s’égare malheureusement bien vite dans le grand n’importe quoi (comme trop souvent...). Il en fait des tonnes et sa lourdeur est vraiment pénible. Son récit est également plein de trous et d’incohérences sous le couvert (et le prétexte) d’un humour sardonique qui tombe à plat tout le temps et fait simplement ‘pschiiit’...!
L’ennui est donc patent et très désagréable dans cette bédé de merde, laquelle est aussi très, très mal dessinée, à tel point que la lisibilité est souvent problématique. Ce dessin est un foutoir permanent, une confusion totale, aggravée qui plus est par des couleurs affreuses et de mauvais goût ! bref, une bd de merde à renvoyer au recyclage ! (qu’elle serve au moins à fabriquer des rouleaux de PQ, putain !).