Bien que la première histoire des 4 chapitres que forment Les Éthiopiques est moins prenante (mais tout de même d'un bon niveau) par contre la suite s'avère toujours du Pratt magnifique avec ces aventures singulières de ce cher Corto Maltese qui trouvera ici une sorte d'alter ego Africain en la personne de Cush (bien que ce dernier soit beaucoup plus cynique que notre marin Maltais).
En relisant la série je constate que cette BD n'a pas perdu de son charme et de son ton particuliers se distinguant nettement dans le milieu du 9ème Art.