le 29 déc. 2019
Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux
Qu’est-ce qu’un boiseleur? Pas la peine de chercher ce mot dans le dictionnaire, car il n’existe pas. Ou, du moins, pas encore. Il s’agit d’un terme imaginaire, qui combine les mots "bois" et...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
BD franco-belge de Hubert Boulard (Hubert) et Gaëlle Hersent (2019)
Solidor est une ville isolée qui abrite en son sein une multitude d’oiseaux exotiques. Des oiseaux aux couleurs chatoyantes, aux chants mélodieux… des oiseaux en cage. Chacun rêve d’avoir un oiseau plus merveilleux que celui de son voisin et quoi de mieux comme cage exceptionnelle pour exhiber un animal exceptionnel. Illian est apprenti sculpteur talentueux, à tel point que maître Koppel, n’a plus besoin de travailler pour s’enrichir. Il exploite le jeune homme qui compte les jours où il sera enfin libre. Illian rêve aussi d’avoir un oiseau à lui; à défaut de pouvoir se l’offrir, il choisi de s’en fabriquer un sur un morceau de bois de atelier. Sans le savoir il vient de lancer un nouveau commerce qui aura des repercussions sur toute la cité.
La collection Métamorphose des éditions Soleil se veut à chaque fois un bonheur pour les yeux du lecteur de part une mise en page dynamique qui n’enferme pas les illustrations dans des cases, n’hésitant pas à les mettre en avant dans des doubles pages incroyablement réalisées. Le trait de Gaëlle Hersent sublime le texte poétique de Hubert, un récit aux aires de conte de fées qui invite à la réflexion sur les rapports de l’homme à la nature et dénonce la (sur-)consommation liée aux effets de mode. L’ensemble forme un écrin de douceur, aux couleurs chatoyantes. On en redemande!
Créée
le 16 avr. 2020
Critique lue 103 fois
le 29 déc. 2019
Qu’est-ce qu’un boiseleur? Pas la peine de chercher ce mot dans le dictionnaire, car il n’existe pas. Ou, du moins, pas encore. Il s’agit d’un terme imaginaire, qui combine les mots "bois" et...
le 17 juin 2021
A Solidor, ville isolée peuplée d’oiseaux exotiques, le jeune Illian est ouvrier. Travaillant pour le compte de maître Koppel, il sculpte avec finesse de merveilleuses cages à oiseaux. Surexploité,...
le 27 janv. 2021
Sur l'écriture, c'est un peu le point de vue d'un ado de 17 ans. Mais il faut avouer, c'est beau, original et le rythme nous prend comme une rivière.
le 10 déc. 2020
Après l’énorme coup de cœur pour le roman Appelle-moi par ton nom, je ne pouvais que lire la suite, même si je m’attendais à une lecture moins enthousiasmante tant le premier se suffisait à lui-même...
le 27 mars 2020
Orgueil et Préjugés fait parti de ces romans que je peux relire sans compter en y prenant toujours autant de plaisir. Un roman qui a plus de 200 ans et qui plait toujours autant par l’intemporalité...
10
le 1 janv. 2018
Depuis le premier volume on a découvert Cerise et sa touchante personnalité, pleine de générosité et d’empathie. Mais sous des dehors enjoués, la jeune fille cache des blessures qui refont surface...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique