Ca y est, Magilumière s'est terminée au bout du 160e chapitre. Ce qui est une plutôt bonne fin malgré cette impression que l'auteur aurait limite voulu faire un arc supplémentaire.
Bon, je suis désolé, mais je vais citer ce que je disais dans l'article consacré à sa version animé.
Magilumière est un manga que j'aime bien par sa façon de déconstruire l'univers des magical girls, mais pas de façon dark et gritty comme le ferait un Puella Magi Madoka ou un Wonder Egg Priority, mais en faisant plutôt une critique du monde de l'entreprenariat. En effet, dans cet univers, être une magical girl est un boulot, il y a des entreprises qui gèrent leur contrat et des techniciens qui créent leurs objets magiques ou codent des programmes informatiques afin de gérer leur sortilèges. Ça semble toujours bizarre qu'un truc magique qui a un effet dans la vraie vie soit codé par ordinateur, mais la plupart des monstres (les kaïs) sont capturés sur des clés USB, donc pourquoi pas.
Ceci dit, je conseillerait plutôt la version papier, qui a l'avantage de ne pas être bâclée et d'imposer un peu plus de rythme que la version animé où j'avais l'impression que certains épisodes étiraient un peu l'action.