Comme pour le précédent, Nob se réinvente.
Après avoir longtemps tourné sur le quotidien, des scènes qui pouvaient se retrouver dans n’importe quel tome, à l’instar des Nombrils, il évolue en prenant une idée forte par tome.
Là, il quitte la maison pour aller aider son père, laissant les filles se débrouiller seules.
Evidemment, il n’est jamais loin mais on a encore un nouvel angle pour la sororité, sympa et bien vu.
Si Bérénice est celle qui parle le moins, comme elle est plus sensible, c’est celle que je trouve la plus intéressante et nombre de gags qui m’a le plus marqué ou touché l’ont au centre de l’histoire…
Sympathique tome qui nous fait entrer encore un peu plus dans la famille.