Tous les pires clichés du yaoi se retrouvent ici avec le viol comme vecteur de l'érotisme du livre. Et le lecteur est invité à être en empathie avec le violeur, parce que pourquoi pas ? De plus, le violé en redemande parce que un viol n'est pas un traumatisme, c'est bien connu.
L'auteur (ou l'autrice, je ne sais pas) ne va même pas au bout de son délire avec de la censure au niveau des pénis, remplacés par des têtes d'éléphants parce qu'ils ont une trompe, ha ha ha.
Les chapitres ne font aucun sens, c'est découpé n'importe comment.
Encore un succès du web qu'un éditeur n'a pas pris la peine de travailler.