Pigalle, 1950
6.8
Pigalle, 1950

BD franco-belge de Pierre Christin et Jean-Michel Arroyo (2022)

Toinou, un jeune Aveyronnais de 18 ans qui ne se satisfait pas de la vie sans perspective qui se présente à lui, monte à Paris où il est accueilli par un cousin bougnat. D'abord confiné à des tâches ingrates, il va peu à peu évoluer au gré des rencontres mais dans un milieu de la nuit où le spectacle sert de vitrine à des trafics divers ponctués de sanglantes fusillades.

Bien que le scénario de Pierre Christin ne brille guère par son originalité, c'est un vrai plaisir de parcourir "Pigalle, 1950" grâce au talent du dessinateur Jean-Michel Arroyo qui réussit à merveille à nous plonger dans l'atmosphère d'un Paris qui n'est plus.

jmlaffont
8
Écrit par

Créée

le 22 oct. 2022

Critique lue 19 fois

1 j'aime

jmlaffont

Écrit par

Critique lue 19 fois

1

D'autres avis sur Pigalle, 1950

Pigalle, 1950
jmlaffont
8

Critique de Pigalle, 1950 par jmlaffont

Toinou, un jeune Aveyronnais de 18 ans qui ne se satisfait pas de la vie sans perspective qui se présente à lui, monte à Paris où il est accueilli par un cousin bougnat. D'abord confiné à des tâches...

le 22 oct. 2022

1 j'aime

Pigalle, 1950
Isadelamontalay
8

Critique de Pigalle, 1950 par Isadelamontalay

Plongée dans le Paris des années 50, ambiance film noir. Le graphisme noir et blanc, patiné sépia, apporte la touche rétro nostalgique à ce récit de gangsters. Trafics en tous genres, castagne et...

le 18 avr. 2025

Pigalle, 1950
Ju-lit-les-mots
9

Une superbe plongée dans les années 50

Une BD où chaque trait donne vie aux personnages, rend palpable les événements.Le noir et blanc couplé au sépia fait ressortir toutes les émotions et donne une touche de polar noir digne des films...

le 23 janv. 2023

Du même critique

La Meute
jmlaffont
9

Critique de La Meute par jmlaffont

Je pensais en savoir déjà beaucoup sur l'ego incommensurable de Mélenchon et sur la dévotion aveugle, totalement irrationnelle qu'il suscite chez ces "insoumis" si mal nommés, je me dois de...

le 23 mai 2025

5 j'aime

Samouraï
jmlaffont
9

Critique de Samouraï par jmlaffont

Grand admirateur de Fabcaro auteur de BD, j'avais beaucoup aimé les deux premières oeuvres de Fabrice Caro le romancier, Figurec et le discours, alors que la troisième, Broadway, m'avait laissé une...

le 27 mai 2022

5 j'aime

Fort Alamo
jmlaffont
9

Critique de Fort Alamo par jmlaffont

"ça n'était plus une vie, je passais mon temps à avoir peur de tuer tout le monde." Comment Cyril, le narrateur, prof aux multiples fragilités mais au sens de l'observation particulièrement aiguisé,...

le 13 nov. 2024

4 j'aime