Jodorowsky n’a jamais fait dans la nuance ni la poésie mais tout de même… il s’est sans doute un peu assagi depuis… ce truc-là, je crois ! en l’occurrence ce « Polar extrême privé (de tout) » dont le mauvais goût et la provocation dégueulasse habite chaque page… J’ai eu du mal à le finir, y compris en diagonale tellement c’est à la fois gerbant et tout à fait… n’importe quoi !
Surtout que c’est toujours la même chose à vrai dire : des crimes sordides et bien crades, des dialogues vulgaires, le privé qui se fait sucer la bite toutes les 10 pages à peu près et qui se tape une queue le reste du temps (pas privé de branlette, ce branleur !) mais ça n’a rien d’érotique, qu’on se rassure ou qu’on s’en éloigne (!) ça reste crade comme tout le reste de ce salmigondis permanent !
Pas d’histoire de toute façon ou rien de significatif, seulement du répétitif… le gars Jodo devait être défoncé à je ne sais quoi de très stupéfiant lorsqu’il a boulotté ce merdier… le dessin en noir et blanc de Durandur est presque aussi pourrave que l’album entier et s’avère bâclé et souvent bien moche pour sa part. Rien à sauver ici donc : tout part pour la poubelle !