le 25 août 2013
Perceurs de kystes en cuir rouge
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Avant le cycle Le Scorpion, Enrico Marini, associé cette fois à Jean Dufaux, avait gratifié les amoureux du neuvième art du cycle Rapaces en 4 tomes. Histoire ténébreuse de meurtres de prime abord insolubles dans les rues de New York, sur fond de vampires en rébellion tous de cuir rouge vif vêtus.
Si le scénario ne manque pas de petites trouvailles agréables pour conter cette guerre de l'ombre entre factions vampires, le tout reste assez convenu sans être foncièrement déplaisant. Le dessin est ce qu'il est, ça regorge de mâles virils et de créatures de rêves dénudées, avec des décors globalement agréables à l’œil, mais bon fondamentalement, ça reste trop paroxystique à mon goût.
Il faudrait peut être faire comprendre qu'à un moment, une bonne bande dessinée "pour adultes" peut se passer de scènes de sexe ubuesques et de poses porno-lascives en attendant un bus, surtout quand les personnages principaux se baladent tout de cuir vêtus et ce uniquement, sans même un sous vêtement pour se préserver les parties. Le tout est à mon sens exagérément sombre et grandiloquent. Avec quelques retouches dans le scénario et et un dessin plus posé, on aurait pu déboucher sur une bande dessinée d'ambiance sur fond de vendetta millénaire bien plus immersive et prenante.
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Créée
le 24 mai 2012
Critique lue 824 fois
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