Le mystère autour de la famille d'Akatsuki est enfin levé... mais médiocrement. Il y avait matière à écrire une histoire si bouleversante qu'elle aurait justifié et même excusé le moindre des comportements de l'écrivain ; elle se contente d'être touchante grâce à la réaction de la lycéenne.
Si Akatsuki s'éveille aux autres, Fumi, elle, est de plus en plus sensible au contact de son partenaire et fait du dernier chapitre un épisode émoustillant. C'est tout de même la pudeur qui l'emporte, ce pour quoi je salue le mangaka.
La dernière planche promet un grand chambardement dans le quotidien des héros, que j'espère passager (le personnage du père ne m'est pas sympathique).