Epi Deo
Druillet conclue sa bilogie en reproduisant peu ou prou les même schémas que pour Ygraël, mais cette fois, c'est un peu plus directement compréhensible. Entre mythologie perverse (possible relecture...
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le 24 sept. 2016
Druillet conclue sa bilogie en reproduisant peu ou prou les même schémas que pour Ygraël, mais cette fois, c'est un peu plus directement compréhensible. Entre mythologie perverse (possible relecture d'Oedipe inversé) et mise en scène de l'échec, une sympathique mais anecdotique aventure (Druillet n'a rien d'un très grand scénariste, et les fresques ne sont pas toujours au top ici, même si quelques planches valent leur pesant de pistaches à la crème).
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Créée
le 24 sept. 2016
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