Les dessins sont ici parfois magnifiques, mais le style lyrique du scénariste d'occaze est particulièrement risible (je crois que ce n'est pas voulu, mais qui sait ?), illisible (littéralement, la police est dégueu) et engloutit un bon 3/4 du récit. Du coup, quand tout ça part (le fratricide, l'inceste, la perversion sexuelle) on commence juste à comprendre qui est qui. Et c'est déjà fini.

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le 24 sept. 2016

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