Pour ma 100e critique, il me fallait un film avec le nombre 100 dans son titre. J'ai envoyé Lycos chercher, il m'a trouvé ce film. Je l'ai infiniment remercié pour cette trouvaille de bon aloi. Le résumé du film m'a ému. j'étais tout chose. J'aime les films qui livrent aux spectateurs une réflexion sur les rapports humains.
Matthew est devant une résidence peuplée de cent filles. Il raconte son histoire. Il sort d'une super fête organisée dans ce lieu propice aux bouleversements hormonaux et se retrouve dans l'ascenseur. C'est à ce moment-là qu'une fille portant du linge, cachant ainsi son visage, y entre et là... 5,4,3,0 Paf ! Pastèque.
Après une discussion intéressante sur la vie et ses vicissitudes, alors qu'ils sont dans le noir à cause d'une coupure de courant, ils finissent par échanger leurs fluides corporels. C'est une révélation pour le jeune Matthew. Au petit matin, il se réveille dans cet ascenseur et il ne reste de la fille que sa petite culotte. Il va se mettre à sa recherche. Il en est tombé amoureux.
Pour cela, il va s'infiltrer dans la résidence en se faisant passer pour un mec de la maintenance. Il créera des pannes pour s'introduire dans les chambres afin de trouver le soutien-gorge qui correspond à la petite culotte (c'est son coloc chelou qui se balade avec des poids qui pendent à ses parties intimes qui lui a soufflé l'idée). Ça lui permet également de s'améliorer en bricolage et d'en apprendre davantage sur ce que sont vraiment les femmes, cette énigme pour tout homme.
Quelques vannes qui font mouche, des réflexions pas inintéressantes sur plein de sujets comme les rapports hommes-femmes, la psychologie, l'éducation, la beauté et sa perception, etc... Quelques plans nichons parce qu'il faut bien.
Matthew est sympathique et parfois touchant dans sa quête de la femme qui lui a donné du plaisir pour la première fois. Son speech de fin sous les fenêtres des filles est émouvant et trouve écho en chacune d'elles (le chanceux). Va-t-il finir par retrouver celle qui fait battre son cœur, l'unique objet de son désir ? Telle est la question.