On reproche souvent à Danny Boyle d'en faire trop, de sacrifier son récit à l'image, bref, d'être un simple clippeur maniéré tout juste bon à shooter une pub pour Reebok. Pourtant, peu de cinéastes contemporains parviennent à capter aussi bien que lui l'air du temps, à retranscrire l'urgence d'une situation, à capturer le mouvement. Qui mieux que lui pouvait donc mettre en images l'incroyable histoire vraie d'Aron Rolston ? Entre les mains d'un cinéaste lambda, "127 heures" serait sûrement... Lire la critique de 127 Heures