Fade Astra
Et en voilà un de plus. Un auteur supplémentaire qui se risque à explorer l’espace… L’air de rien, en se lançant sur cette voie, James Gray se glisse dans le sillage de grands noms du cinéma tels que...
le 20 sept. 2019
206 j'aime
13
Ce film est une véritable claque. Loin de tous les blockbusters qui se ressemblent, Ad Astra propose une véritable réflexion sur la famille – thème plus que présent dans la filmographie de James Gray parait-il (c'est le premier film du réalisateur que je visionne) –et sur la présence de vie extraterrestre. Les plans sont d'une beauté phénoménale, la musique joue un rôle tout particulièrement important sur la très belle voix de Brad Pitt que l'on prend plaisir à écouter.
Non, Ad Astra n'est pas un film avec des scènes d'action à tout va. Il va plus loin que cela et offre une réflexion plus que pertinente sur la vie extraterrestre : tant que l'on n'a pas de preuve qu'elle existe, il est absurde de considérer qu'il y en a. La fin peu paraitre décevante, elle est pour moi magnifique. Même dans le futur, on n'aura pas forcément réponse à toutes les questions et c'est bien comme ça.
Créée
le 5 mai 2021
Critique lue 62 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Ad Astra
Et en voilà un de plus. Un auteur supplémentaire qui se risque à explorer l’espace… L’air de rien, en se lançant sur cette voie, James Gray se glisse dans le sillage de grands noms du cinéma tels que...
le 20 sept. 2019
206 j'aime
13
Il faut se rappeler l'image finale de The Lost City of Z : celle de cette femme qui franchit symboliquement une porte ouverte sur la jungle pour se lancer à la recherche de son mari disparu. Ce motif...
le 18 sept. 2019
175 j'aime
24
Film absolument sublime, sans nul doute le meilleur Gray que j'ai pu voir et l'un des meilleurs films se déroulant dans l'espace. J'ai été totalement bluffé, je me doutais bien que le véritable sujet...
Par
le 24 sept. 2019
121 j'aime
15
Du même critique
De plus en plus nombreux se font les longs-métrages sur les époques révolues d’Hollywood. Que cela soit sous la forme d’hommages (Once Upon a Time… in Hollywood) ou, à l’inverse, sans édulcoration...
le 23 janv. 2023
8 j'aime
5
The Chef essaye tant bien que mal d’épater ses spectateurs avec un plan-séquence d’une heure et demi certes bien maitrisé, mais ses trop grandes profondeurs de champs finissent par nous perdre et...
le 23 janv. 2022
8 j'aime
3
Entre combats politiques utilitaristes et jeux de pouvoirs pour grimper l’échelle sociale (ou a minima rester au même échelon), Les Promesses de Thomas Kruithof dépeint toute l’hypocrisie de cette...
le 29 janv. 2022
6 j'aime
1