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Suburbia.
Premier long-métrage de Sam Mendes, "American beauty" permet au cinéma hollywoodien de retrouver la verve qui était la sienne dans les années 70, empruntant au cinéma indépendant sa liberté de ton et...
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le 20 oct. 2013
178 j'aime
Une joyeuse descente aux enfers !
Kevin Spacey, oui parce qu'il mérite d'être cité bien que chacun des acteurs furent excellents, mène un protagoniste empathique au travers d'une dégénération tragique et belle.
La composition de Mendes dans ce film est lente maîtrisé, insuflant aux zooms une introspective dans une famille déchirée, obstruant si nécessaire un personnage jouant donc avec notre perception dans la mesure de créer un chemin facile à suivre, simple logique pour nous reposer sur notre ressenti poétique de chaque scènes lourdes en signification. Ainsi à de nombreuses reprises, les idées sont extériorisé afin de nous offrir une approche téléphoné mais impliqué et donc viscérale dans ce choc de personnages voué à se détruire. On retiendra la logique de Sam Mendes de faire de son élément perturbateur le centre de gravité de son film afin de nous pousser à remettre en question notre investigations et nos soupesons.
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Créée
le 24 mai 2016
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