Pour ce troisième film les auteurs et producteurs tentent de se renouveler, en délaissant le côté "anthologique" (d'ailleurs on retrouve un personnage du deuxième film) pour se concentrer sur une intrigue à priori plus politicienne tout en oubliant pas d'être violente. Car à force de vouloir dépeindre les participants à la Purge comme des excentriques, cela en devient parfois ridicule (un vrai défilé de déguisements) les psychopathes sont plus risibles qu'effrayants. Le scénario est plus décousu, la première demi-heure semble même s'éparpiller pour ensuite tout de même converger vers une même histoire. En fin de compte, il s'agit du moins bon des trois épisodes.