Après une Merveilleuse Angélique, trop merveilleuse pour être honnête, retour à du tordu avec Angélique et le Roy. Le cousin un peu con-con qui fit chavirer le cœur de notre héroïne fout le camp cinq minutes après le début du film, place à un Sami Frey qui viole ses invitées avec calme et éloquence, à un Jean Rochefort plus amoureux que jamais (qu'il en profite car après, plus de Jeannot dans la saga), au retour d'un personnage clé ou à l'apparition de... Lire la critique de Angélique et le Roy