Film de Robert Bresson · 1 h 35 min · 25 mai 1966 (France)

Genre : Drame

Groupe :

Au hasard Balthazar

Pays d'origine :

France, Suède
Fiche technique

Les tribulations d'un âne dans les Landes des années 1960, prétexte à la peinture des travers humains.

guyness

Miracle de la persévérance. Après son échec avec les humains et les accessoires, Bresson nous rassure: il sait au moins diriger les ânes.

il y a 4 ans

9 j'aime

11

Monkape

L'âne joue bien, lui.

il y a 5 ans

7 j'aime

Florian_Bodin

Je t'adore Robert, mais ton film est beaucoup trop sinistre pour moi. Ça m'a retiré toute joie et désir de vivre.

il y a 7 ans

3 j'aime

2

Behind_the_Mask
8

Critique positive la plus appréciée

Le vague à l'âne

L'expression « au hasard Balthazar » a quelque chose de l'errance. Il sera un peu question de cela quand Robert Bresson la reprendra à son compte pour nourrir son oeuvre. Une errance dans un monde à...

il y a 3 ans

23 j'aime

7

MemoryCard64
4

Critique négative la plus appréciée

Âne bâté (et battu)

Il y a quelques temps je découvrais, fasciné, la façon de diriger les acteurs de Bresson. Cette démarche était à la fois unique et profondément déroutante, mais elle servait totalement le propos d'Un...

il y a 7 ans

17 j'aime

3

Sergent_Pepper
6

Cette obscure clarté, qui plombe et se dévoile…

Bresson, cinéaste radical, fait partie de ces rares auteurs qui combinent deux motivations a priori contradictoire : atteindre la pureté et l’exactitude, mais par les voies détournées de l’opacité...

il y a 5 ans

25 j'aime

7

Chinaski
9

Critique de par Chinaski

Au détour d'une maison de vacances, on entrevoit l'enfance heureuse, l'amour naissant. Le restant du chemin sera celui menant à la mort, la boucle est bouclée. 1h30 pour assister à une évocation du...

il y a 11 ans

24 j'aime

Lunette
7

Pureté, radicalité

D'emblée, Au hasard Balthazar apparaît comme un tableau, dénué de tout, épuré jusqu'à la moelle. Vacuité des images, des mots, des paroles, des êtres tout entier qui se contentent de se regarder...

il y a 7 ans

12 j'aime

Reymisteriod2
9

Le monde est si beau ; l'homme est si laid

Spoil tout le long (spoil aussi de Mouchette et Pickpocket , du même auteur, et de la fin de Allemagne, année zéro de Rossellini) C’est un film qui fait détester l’humanité. Car l’humanité n’est...

il y a 4 ans

5 j'aime

2