Alors bien sûr, il y a une performance technique et les moyens mis en oeuvre sont conséquents.
De ce fait, on écrit un scénario prévisible pour plaire au plus grand nombre (petits, grands, jeunes, moins jeunes) et surtout rentrer dans ses frais au vu de l'énorme investissement financier !
Alors Monsieur James CAMERON, il faut arrêter les frais et faire preuve de davantage d'audace la prochaine fois. Pars qu’elle se trouve où l'audace dans AVATAR, si ce n'est mettre en image live des planches de bandes dessinées archi connues des amateurs de SF en albums cartonnés ?
Bien sûr, cela fait avancer l'aspect technique de la fabrication de l'image, mais ou est le vrai cinéma là dedans, celui qui surprend, celui qui fait réfléchir (et non celui qui nous refourgue des formules redondantes sur le respect de l'environnement et la préservation des modes de vie ancestraux...).
Donc une avancée dans la manière de mettre en image, mais un retour en arrière en ce qui concerne la manière de raconter une histoire...