Ça commence très fort, on se dit que le rythme va être difficile à maintenir, et effectivement le milieu du film ne tient pas la distance avec quelques scènes lourdes, voire consternantes. Ça se réveille plutôt bien dans la dernière partie avec quelques plans assez spectaculaires. Mais quand on joue la carte de la dérision et de la parodie, on le fait jusqu'au bout, alors quoi bon cette fin rose bonbon qui ne sert à rien ? Voici l'occasion de reprendre à mon compte cette réflexion pertinente : "lorsque Romero inventait le film de Zombie c'était avant tout pour critiquer la société... Aujourd'hui l'horreur à seulement pour but de divertir ou même de faire sourire ... "